Selon les informations, la CEDEAO a marqué son indignation face au manque de progrès dans les engagements avec les autorités du Burkina Faso, du Mali et du Niger, tous réunies au sein de l’AES. Cette déception n’est en aucun cas liée à une volonté saine de ces chefs d’Etats de renouer de bonnes relations avec les peuples du Sahel.

Il s’agit de l’expression de la pression que l’Elysée exerce sur ces dirigeants de la CEDEAO. Paris étant coincé dans ces plans de déstabilisation des régimes militaires dans ces pays, avec les terroristes de la brousse et les médias terroristes, se rabat une fois encore sur la CEDEAO et augmente la pression.

C’est ce qui explique la résurgence de ce dossier de l’AES à la dernière Conférence des chefs d’Etats et de gouvernements de la CEDEAO, avec la mise en place d’une nouvelle équipe de médiation. Une équipe composée du président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye FAYE qui était tout dernièrement à Paris et qui se montre déterminé à ramener les pays de l’AES au sein de la CEDEAO,

et le président de la République togolaise, Faure GNASSINGBE, sachant qu’il entretient de bonnes relations avec les dirigeants de ces pays de l’AES et comptant sur son expérience dans la résolution des crises antérieures. Le président de la Guinée Bissau, Toutou d’Emmanuel Macron, s’est lui-même proposé pour s’occuper personnellement du cas du Burkina Faso, avec le capitaine Ibrahim TRAORE.

Selon les informations, Paris demande à la CEDEAO de tout faire, pour rétablir dans ces trois (03) pays de l’AES, l’ordre constitutionnel, pour des raisons diverses. Des raisons utilisées bien sûr, pour mettre la pression. Pour Paris, la situation de l’AES est un danger pour les autres pays en Afrique notamment dans l’espace CEDEAO.

Paris affirme craindre l’influence militaires Russe en Afrique expliquant que ses statistiques révèlent des tentatives d’infiltrations des services secrets Russes au sein des États major de la CEDEAO en Vu de procéder à des recrutements tactiques et planifier des déstabilisations de la majeure partie des pays courant 2025.

De plus, Paris insiste sur la mise en œuvre réelle des sanctions qui pousseront les populations à une démarcation vis-à-vis des pouvoirs sahéliens. En raison de l’appui financier significatif de la Diaspora, à ces trois pays, Paris demande des actions pouvant impacter aussi la diaspora et la pousser à la révolte contre les pouvoirs.

Se mettre ensemble une fois de plus pour contrecarrer ce plan de l’Elysée et de ces complices de la CEDEAO est important pour la réussite de la révolution en vue de la liberté, de la souveraineté du Sahel et de toute l’Afrique.

Yasmine O.

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